Ce masque, je le porte tout le temps. Mais je l'enlève quand j'écris.
Les gens pensent me connaitre mais en réalité ils ne voient que ce masque. J'ai passé tellement de temps à former ce masque que je ne différencie parfois plus le vrai du faux.
le-coeur-lourd
Ce que je pense,ce que je suis
Jeudi 17 juillet 2008 à 22:02
Je sais que tu es mon ange et que tu veilles sur moi. Je sens ta présence auprès de moi. Et même si tu n'es pas mon ange, je veux continuer d'y croire. Je veux avoir l'illusion que tu es encore avec moi.
Je veux t'imaginer assis à mes cotés toujours à veiller. Je t'imagine en train de faire de tes ailes un bouclier pour me protéger.
Jeudi 17 juillet 2008 à 21:47
Quelques mots peuvent blesser. 
L'impact des mots n'est pas mesuré avant qu'ils ne soient prononcés.
Les mots peuvent être doux et délicats comme une caressse mais ils peuvent tranchants comme la lame d'un couteau.
Personne ne mesure la force des mots sauf quand on en souffre.
Les mots peuvent réparer les coeurs comme les briser.
Jeudi 17 juillet 2008 à 21:01
Je me sens tellement vide que j'en ai le vertige.
Mercredi 16 juillet 2008 à 0:03
Dites où cela se trouve. Faites moi un plan, indiquez moi la route à suivre. Je dois pas avoir le sens de l'orientation ou être totalement paumée parce que je ne l'ai pas encore trouvé.
Ou bien c'est un endroit bien planqué. Je pense y être déjà passée mais le temps que je m'en rende compte j'en étais déjà sortie.
Sinon je dois être idiote. Offrez moi un gps avec le mode d'emploi surtout.
Mardi 15 juillet 2008 à 23:43
Tu m'as dit que tu aimais ce baiser alors je te l'ai offert.
Mardi 15 juillet 2008 à 23:33
On me dit de tourner la page. Mais c'est pas facile. Je tourne des pages mais il me faudrait plutôt fermer un livre. Je ne cesse de tourner des pages et je n'en vois pas le bout. Ce livre est interminable. C'est le livre de ma vie. C'est " l'histoire sans fin". Une histoire qui ne fait que se répéter.
Mardi 15 juillet 2008 à 20:14
J'aime la pluie.
J'aime cette odeur qu'à la première pluie.
J'aime que la pluie arrose mes joues. Au début, elle est comme une caresse puis se fait un peu plus violente. Elle devient presque agressive. Son agression efface toutes celles de la journée. J'aime qu'elle roule sur mes joues jusqu'à former un torrent.
Cette eau qui me touche en toute première, qui est encore vierge de tout, caresse ma peau. J'aime tellement cette sensation.
Mardi 15 juillet 2008 à 19:40
Silence
Ecoute toi. Ecoute comme parfois tu peux être triste. Moi quand je t'écoute, j'entends des pleurs, de la souffrance, de la douleur.
Quand je souffre, c'est dans tes bras que je me niche. Je me terre en toi.
Ne fait-on pas une minute de silence quand un drame arrive ???!!!!!