Mardi 15 juillet 2008 à 23:43

Tu m'as dit que tu aimais ce baiser alors je te l'ai offert.

Mardi 15 juillet 2008 à 23:33

On me dit de tourner la page. Mais c'est pas facile. Je tourne des pages mais il me faudrait plutôt fermer un livre. Je ne cesse de tourner des pages et je n'en vois pas le bout. Ce livre est interminable. C'est le livre de ma vie. C'est " l'histoire sans fin". Une histoire qui ne fait que se répéter.

Mardi 15 juillet 2008 à 20:14

 J'aime la pluie.

J'aime cette odeur qu'à la première pluie.

J'aime que la pluie arrose mes joues. Au début, elle est comme une caresse puis se fait un peu plus violente. Elle devient presque agressive. Son agression efface toutes celles de la journée. J'aime qu'elle roule sur mes joues jusqu'à former un torrent.

Cette eau qui me touche en toute première, qui est encore vierge de tout, caresse ma peau. J'aime tellement cette sensation.

Mardi 15 juillet 2008 à 19:40

Silence

Ecoute toi. Ecoute comme parfois tu peux être triste. Moi quand je t'écoute, j'entends des pleurs, de la souffrance, de la douleur.

Quand je souffre, c'est dans tes bras que je me niche. Je me terre en toi.

Ne fait-on pas une minute de silence quand un drame arrive ???!!!!!

Mardi 15 juillet 2008 à 19:12

J'aurais voulu être une étoile pour que tout le monde m'admire, pour que tout le monde me trouve belle. Je voudrais briller parmi tant d'autres, éclairer le ciel et la nuit.

Mais surtout je voudrais briller dans vos yeux.

Lundi 14 juillet 2008 à 23:36

Je ne sais pas où je vais ni comment j'y vais. Mais le tout c'est d'y aller.

Lundi 14 juillet 2008 à 23:34

J'ai le coeur fendu. La plaie est béante. Rien ne peut la faire cicatriser. La douleur est omniprésente. J'aimerais trouver l'antidouleur qui conviendrait, celui qui enlèverait la douleur.

Peut-être que la solution est de trouver un autre coeur. Si c'est la solution, j'aimerais savoir où trouver ce coeur. Il existe peut-être une sorte de casse avec des coeurs d'occasion.

Cette douleur est habituelle, je commence à m'y faire. Elle reste encombrante et génante. Elle est comme un boulet que je traine.

Jeudi 10 juillet 2008 à 22:00

J'écris sur tout, ce que je vois, ce que je lis, ce que je ressens. Chaque jour sur le coin d'une page, je griffonnes quelques idéees, quelques remarques. Je noircie des pages de mon encre.

Tout ce que je pense et ne dis pas finit sur une page ou sur un bout de papier.

Mon esprit bouillonne et le clavier s'échauffe au rythme de mon esprit. Je ne peux arréter cette machine qui est lancée.

J'écris plus ou moins abondamment. J'écris comme tombe la pluie. Il y aura des sécheresses et des averses.

Mes articles sont ainsi écrits.

Jeudi 10 juillet 2008 à 19:59

Je te suis depuis tant d'années.

Avec mes yeux de petites filles, j'ai admiré ton combat. Je me suis construite avec ton courage, avec ton envie de justice et d'égalité. Je t'ai surtout vu te battre envers et contre tous.

Avec mes yeux d'ado, j'ai pleuré pour toi, ta famille, tes proches. Mais j'ai surtout pleuré pour moi qui était séparé de ce modèle dont je m'inspiré.

Avec mes yeux de jeune fille, j'ai pleuré ton retour. J'ai cru réver. Le retour tant attendu.

Toutes ces années, je me suis battue, inspiréee par toi. Bien sur, mon combat n'est pas à la hauteur du tien. Mais je me suis battue comme toi avec la "rage au coeur".

Mercredi 9 juillet 2008 à 21:04

Je veux monter là haut, m'asseoir tranquillement et regarder. Etre seule avec mes idées, réfléchir. Prendre mon temps et écouter le silence. Regarder quelques oiseaux passer.     Et pourquoi pas si j'ai le temps,admirer le paysage.

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